Ce 27 avril, les familles se sont réunies pour réfléchir sur la manière d’entreprendre sans crainte de se tromper. Un programme, comme d’habitude ludique, concocté par une Angélique plus positive que jamais, malgré les houles du moment.
Que l’on soit ado ou parent, entreprendre est une histoire de passion ou d’intérêt. Qu’il s’agisse de faire ses devoirs et d’exercer une tâche professionnelle, l’objectif lié à cette idée d’entreprendre est d’atteindre un but, un objectif.
Alors comment faire quand rien que l’idée d’exécuter une tâche nous rebute ?
Pour saisir le sens de cette question, Angélique a invité chacun à découvrir la puissance des mots en écrivant ceux qui donnent de la joie, démontrant ainsi qu’un mot pouvait induire une expression liée à une situation agréable et ainsi engendrer une émotion et un état d’être positif.
Cet état d’être, nous l’avons ensuite mesuré à l’aide d’un ou plusieurs thermomètres (celui de l’école, du travail, des relations avec les amis, des loisirs…) et nous avons réfléchi à ce qui faisait baisser sa température : un contrôle inattendu, une mauvaise organisation, la négativité ambiante, la fatigue, la critique, les restrictions…
Ces observations d’un quotidien propre à chacun nous ont ensuite amenés à nous poser d’autres questions sur notre façon d’appréhender chaque problème, chaque souci, chaque situation.
Einstein disait : « Chaque problème a sa solution. S’il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème ».
Comment trouver la solution pour passer à l’action ?
Pour trouver une solution, il est indispensable de prendre de la hauteur sur le problème et de l’analyser afin de relativiser :
Quelle importance je donne à ce problème ?
Quelle est sa gravité ?
Quelles sont les conséquences de ne pas faire ses devoirs ou de ne pas ou mal exécuter une tâche ?
Qui peut m’aider à trouver la solution ?
Est-ce que quelqu’un peut le faire à ma place ?
Après avoir trouvé les réponses à ces questions, il y a un détail, ô combien essentiel, à ne jamais jamais jamais oublier :
Le héros de l’histoire, c’est toi !
Dans les histoires, dans les livres ou au cinéma, il y a ce qu’on appelle des adjuvants et des opposants: les premiers sont là pour aider le héros, les seconds, au contraire, sont là pour lui mettre des bâtons dans les roues.
Dans la vie, c’est pareil. Il y aura toujours des personnes pour t’écouter, t’encourager, te motiver et d’autres qui vont te dire que ce n’est pas possible, que c’est comme si ou comme ça…
Or on sait tous que le héros réussit toujours après avoir affronté de nombreuses épreuves. Et bien dans la vie, le héros de l’histoire, c’est toi !
Tu es LE seul maître de ta vie avec la puissance des mots, qui traduisent tes pensées. Si elles sont négatives, alors ta vie sera négative. Si elles sont positives, alors sûrement que ta vie sera plus belle !
Finalement, tu vas te rendre compte, souvent, qu’il n’y a que toi qui puisses régler le problème. Il te suffit donc de changer ton regard et ta pensée, et d’aller puiser dans tes ressources pour faire en sorte de rendre la situation plus agréable.
Ex. : Je n’aime pas faire mes devoirs :
- Si c’est parce que c’est une obligation, je peux me dire qu’en fait, que c’est un choix : je choisis de les faire ou de ne pas les faire (après en avoir mesuré les conséquences)
- Si c’est parce que c’est long, je choisis d’y consacrer 10, 15 minutes, de faire une pause et de terminer les 10 minutes suivantes.
- Si c’est parce que je ne comprends rien, je choisis de demander de l’aide pour comprendre.
- Si c’est parce que je trouve que ça ne sert à rien, je choisis de trouver une raison valable pour moi ou de m’attribuer une récompense.
L’idée à retenir est vraiment de donner un sens en recherchant des sources de plaisirs. A chaque héros ses plaisirs, ses récompenses. Ne te prive plus de moments de joie à cause d’une mauvaise pensée ! Quant à la peur de se tromper, et alors ? C'est fantastique !
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